LÉGENDE
Séance J110 : Symposium - Les espaces culturels de formation : quels nouveaux rapports aux savoirs?
Bruno Garnier est professeur de sciences de l’éducation, chercheur membre de l’UMR CNRS LISA 6240, à l’université de Corse. Il a d’abord publié une vingtaine d’ouvrages et articles sur la traduction littéraire avant de s’intéresser à l’histoire des rhétoriques politiques en éducation, puis à la démocratisation de l’enseignement. Il est récemment l’auteur de Garnier B., « L’éducation informelle contre la forme scolaire », Carrefours de l’éducation n°45, 2018, p. 67-91 ; Garnier B., « Les métiers del’enseignement au péril des incertitudes », Spirale, Revue de recherches en éducation, n°60, 2017, p. 3-11 ; Garnier B. Kahn P. [dir.], Éduquer dans et hors de l’école. Lieux et milieux de formation, XVIIe XXe siècles, Rennes, PUR, 2016.
Theodora Balmon, Conservatrice des bibliothèques à l’Université Pasquale Paoli de Corse, a également été enseignante, formatrice et chef d’établissement adjointe. Entamant des études doctorales après un Master 2 en sciences de l’éducation, elle est également diplômée en sociologie (DEA, équivalent Master 2, de l’Université de Paris V – René Descartes). Le rapport à la culture, au savoir, et à la connaissance, l’impact sur les représentations sociales et éventuellement les pouvoirs d’action en découlant constituent ses champs d’intérêt, ainsi que les populations minoritaires – en tant que groupes dotés d’un moindre pouvoir d’action. Le thème de son travail actuel en sciences de l’éducation est davantage centré sur la possibilité d’apprendre dans des institutions hors la forme scolaire.
Sylvie Condette est enseignante-chercheure en sciences de l'éducation à l’Université de Lille (France), membre du laboratoire CIREL (EA 4354) et chercheure associée au LACES (EA 7437) – Université de Bordeaux. Ses travaux portent sur les modalités d’engagement des différents acteurs de la communauté éducative dans la vie de l’établissement et la vie de la Cité, dans le contexte français et plus largement, dans une approche comparée. Elle s'intéresse ainsi aux questions de démocratie scolaire et d'éducation aux médias, à la médiation et la gestion non violente des conflits, aux formes de collaboration et à la qualité relationnelle entre les acteurs éducatifs, à la valorisation des ressources humaines en milieu éducatif.
Séance J210 : Symposium - Les espaces culturels de formation : quels nouveaux rapports aux savoirs?
Bruno Garnier est professeur de sciences de l’éducation, chercheur membre de l’UMR CNRS LISA 6240, à l’université de Corse. Il a d’abord publié une vingtaine d’ouvrages et articles sur la traduction littéraire avant de s’intéresser à l’histoire des rhétoriques politiques en éducation, puis à la démocratisation de l’enseignement. Il est récemment l’auteur de Garnier B., « L’éducation informelle contre la forme scolaire », Carrefours de l’éducation n°45, 2018, p. 67-91 ; Garnier B., « Les métiers del’enseignement au péril des incertitudes », Spirale, Revue de recherches en éducation, n°60, 2017, p. 3-11 ; Garnier B. Kahn P. [dir.], Éduquer dans et hors de l’école. Lieux et milieux de formation, XVIIe XXe siècles, Rennes, PUR, 2016.
Professeur des universités émérite. Travaille sur les enjeux culturels, sociaux, épistémologiques et pédagogiques de l'histoire de l'enseignement.
Géraldine Barron est conservatrice des bibliothèques et docteure en histoire. Directrice-adjointe de la bibliothèque de l'Université du Littoral Côte d'Opale (France), elle est chercheuse associée au laboratoire ICT, Université de Paris. Ses recherches portent sur l'histoire maritime, l'histoire des techniques et des collections muséales, XVIIIe-XXe siècles.
Séance J310 : Symposium - Les espaces culturels de formation : quels nouveaux rapports aux savoirs?
Anik Meunier est professeure titulaire en muséologie et en éducation à l’UQAM où elle dirige le groupe de recherche sur l’éducation et les musées (GREM). Elle s’intéresse au champ des médiations culturelles, c’est-à-dire à l’analyse des pratiques professionnelles des acteurs, aux méthodes qu’ils mobilisent et à leurs effets sur les différentes catégories de publics. Il s’agit notamment des médiations mises en œuvre dans le patrimoine et les musées connues sous le nom d’éducation muséale. Elle pilote de nombreux projets de recherche financés, entre autres, par les organismes subventionnaires de recherche canadiens, québécois et internationaux. Elle participe également à diverses activités en milieux éducatif et muséal notamment la conception et l’évaluation de programmes éducatifs muséaux auprès des enseignants et des élèves. L’expertise qu’elle a su développer au fil des ans se manifeste par une importante liste de communications et publications scientifiques.
Chercheur associé à L'Université de Lorraine, docteur en sciences de l'information et de la communication, titulaire de masters en histoire et en philosophie, licence professionnelle de guide-conférencier
Anik Meunier est professeure titulaire en muséologie et en éducation à l’UQAM où elle dirige le groupe de recherche sur l’éducation et les musées (GREM). Elle s’intéresse au champ des médiations culturelles, c’est-à-dire à l’analyse des pratiques professionnelles des acteurs, aux méthodes qu’ils mobilisent et à leurs effets sur les différentes catégories de publics. Il s’agit notamment des médiations mises en œuvre dans le patrimoine et les musées connues sous le nom d’éducation muséale. Elle pilote de nombreux projets de recherche financés, entre autres, par les organismes subventionnaires de recherche canadiens, québécois et internationaux. Elle participe également à diverses activités en milieux éducatif et muséal notamment la conception et l’évaluation de programmes éducatifs muséaux auprès des enseignants et des élèves. L’expertise qu’elle a su développer au fil des ans se manifeste par une importante liste de communications et publications scientifiques.
Professeur des universités émérite. Travaille sur les enjeux culturels, sociaux, épistémologiques et pédagogiques de l'histoire de l'enseignement.
Séance J410 : Symposium - Les espaces culturels de formation : quels nouveaux rapports aux savoirs?
Bibliothécaire à l’Université du Québec à Montréal depuis 2015, Jean-Michel Lapointe est également étudiant au doctorat en communication dans cette même université. Très impliqué dans le milieu associatif des bibliothécaires du Québec et dans le mouvement Wikimédia, il cherche à jouer un rôle d’interface entre ces deux communautés. Il a également donné plusieurs conférences et activités de formation continue dans le milieu de l’éducation postsecondaire pour faire connaître les usages pédagogiques de Wikipédia et des autres projets de l'écosystème Wikimédia.
Rémi Castonguay est bibliothécaire responsable de la discipline Musique à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) depuis 2009. Il est impliqué dans le dossier de la pédagogie au Service des bibliothèques de l’UQAM et dans le groupe de travail de la Promotion du développement des compétences informationnelles (PDCI) depuis 2015.
Mathieu Thuot-Dubé cumule 15 années d’expérience avec le milieu scolaire. Il travaille d’abord en animation culturelle, en animation parascolaire puis en tant qu’enseignant d’arts plastiques pendant plus de dix ans. Il a collaboré, entre autres, à l’écriture de programmes spécialisées en arts et multimédias. Il est engagé par le Musée des beaux-arts de Montréal en 2014 pour le projet ÉducArt où il agit à titre de concepteur pédagogique. Il est actuellement à la maîtrise en enseignement des arts à l’Université du Québec à Montréal où il effectue des recherches sur la transdisciplinarité qu’il considère être un concept phare de l’enseignement du 21e siècle. Il est maintenant Directeur des services éducatifs pour Bibliothèques et Archives nationales du Québec.
Séance V110 : Symposium - Les espaces culturels de formation : quels nouveaux rapports aux savoirs?
Enseignante certifiée en lettres (1996), formatrice de terrain en français pour le primaire et le secondaire et à l’université depuis 2002. A partir de 2009, enseigne à l'Institut National Supérieur du Professorat et de l'Éducation de l'Université de Strasbourg, en formation initiale des étudiants du master Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation. A participé à plusieurs recherches (construction des compétences en langue française en collège éducation prioritaire (enseignant associé à l'Institut National de Recherche Pédagogique) ;Lire-écrire au CP, étude de l’influence des pratiques d’enseignement de la lecture et de l’écriture sur la qualité des premiers apprentissages, Institut français d’éducation). Membre du jury et rapporteur de la conférence de consensus du Conseil National d’évaluation du Système Scolaire "Écrire et rédiger : comment accompagner les élèves dans leurs apprentissages?"(2018). S’intéresse particulièrement aux liens école-partenaires culturels pour développer des pratiques acculturantes fortes et favoriser une nouvelle approche du lire-écrire.
Séance V210 : Symposium - Les espaces culturels de formation : quels nouveaux rapports aux savoirs?
Francophone de cœur et par choix, Aleksandra Grzybowska est passionnée de littérature. Elle est entre autres auteure de La ville littéraire : parcours québécois dans l’imaginaire urbain (ERPI, 2010) et de la collection d’ouvrages pédagogiques Le Québec, connais-tu ? (PUQ, 2014). Actuellement, elle travaille au Centre de la francophonie des Amériques, où elle est en charge des programmes de médiation culturelle de la Bibliothèque des Amériques.
Maître de conférences en sciences de l'information et de la communication, affectée dans un Institut national de formation des professeurs. Mes recherches portent sur la théorie de la réception, la littérature de jeunesse, la didactique de la lecture et la bibliothéconomie.
Denise Gisele De Britto Damas Docteure en éducation Université pontificale catholique de São Paulo Faculté d'éducation Présidente de la Fédération brésilienne des professeurs de français (FBPF) Actualités : Le site de la FBPF présente les activités réalisées en 2020 et le calendrier d'activités de 2021.
Séance V310 : Symposium - Les espaces culturels de formation : quels nouveaux rapports aux savoirs?
Theodora Balmon, Conservatrice des bibliothèques à l’Université Pasquale Paoli de Corse, a également été enseignante, formatrice et chef d’établissement adjointe. Entamant des études doctorales après un Master 2 en sciences de l’éducation, elle est également diplômée en sociologie (DEA, équivalent Master 2, de l’Université de Paris V – René Descartes). Le rapport à la culture, au savoir, et à la connaissance, l’impact sur les représentations sociales et éventuellement les pouvoirs d’action en découlant constituent ses champs d’intérêt, ainsi que les populations minoritaires – en tant que groupes dotés d’un moindre pouvoir d’action. Le thème de son travail actuel en sciences de l’éducation est davantage centré sur la possibilité d’apprendre dans des institutions hors la forme scolaire.
RANA CHALLAH est docteure en sciences de l’éducation. Chercheure postdoctorale spécialisée en pédagogie de l'Enseignement supérieur à l'université Gustave Eiffel à Paris, elle est également enseignante au Département des sciences de l’éducation à l’université Rennes 2 et membre associé du CREAD (Centre de Recherches sur l’Éducation, les Apprentissages et la Didactique). Elle possède également un DEA en littérature anglaise et un MA (Relations internationales – Gestion de projets internationaux). Après avoir enseigné l’anglais au sein du réseau de l’AEFE au Liban et à l’université Saint-Joseph de Beyrouth, elle a mené une thèse sur les dispositifs de formation continue et le travail en réseau des enseignants au sein des établissements de l’AEFE (Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger) au Liban
Professeur en Sciences de l'éducation à l'Université de Bordeaux et membre senior de l'Institut Universitaire de France
Professeure de universités en civilisations et études anglophone et en sciences du langage à l'Université de Bordeaux - LACES EA7437
Séance V410 : Symposium - Les espaces culturels de formation : quels nouveaux rapports aux savoirs?
Sylvie Condette est enseignante-chercheure en sciences de l'éducation à l’Université de Lille (France), membre du laboratoire CIREL (EA 4354) et chercheure associée au LACES (EA 7437) – Université de Bordeaux. Ses travaux portent sur les modalités d’engagement des différents acteurs de la communauté éducative dans la vie de l’établissement et la vie de la Cité, dans le contexte français et plus largement, dans une approche comparée. Elle s'intéresse ainsi aux questions de démocratie scolaire et d'éducation aux médias, à la médiation et la gestion non violente des conflits, aux formes de collaboration et à la qualité relationnelle entre les acteurs éducatifs, à la valorisation des ressources humaines en milieu éducatif.
Bruno Garnier est professeur de sciences de l’éducation, chercheur membre de l’UMR CNRS LISA 6240, à l’université de Corse. Il a d’abord publié une vingtaine d’ouvrages et articles sur la traduction littéraire avant de s’intéresser à l’histoire des rhétoriques politiques en éducation, puis à la démocratisation de l’enseignement. Il est récemment l’auteur de Garnier B., « L’éducation informelle contre la forme scolaire », Carrefours de l’éducation n°45, 2018, p. 67-91 ; Garnier B., « Les métiers del’enseignement au péril des incertitudes », Spirale, Revue de recherches en éducation, n°60, 2017, p. 3-11 ; Garnier B. Kahn P. [dir.], Éduquer dans et hors de l’école. Lieux et milieux de formation, XVIIe XXe siècles, Rennes, PUR, 2016.
Theodora Balmon, Conservatrice des bibliothèques à l’Université Pasquale Paoli de Corse, a également été enseignante, formatrice et chef d’établissement adjointe. Entamant des études doctorales après un Master 2 en sciences de l’éducation, elle est également diplômée en sociologie (DEA, équivalent Master 2, de l’Université de Paris V – René Descartes). Le rapport à la culture, au savoir, et à la connaissance, l’impact sur les représentations sociales et éventuellement les pouvoirs d’action en découlant constituent ses champs d’intérêt, ainsi que les populations minoritaires – en tant que groupes dotés d’un moindre pouvoir d’action. Le thème de son travail actuel en sciences de l’éducation est davantage centré sur la possibilité d’apprendre dans des institutions hors la forme scolaire.